La gendarmerie disposait de huit escadrons dont la mission était de maintenir la sécurité publique générale et la libre circulation en facilitant l’écoulement du trafic et en donnant la priorité aux flux olympiques sur les routes d’accès aux stations activées par la tenue de points de filtrage.
Police nationale (CRS, renseignements généraux, police de l’air et des frontières, unité de coordination de lutte anti-terroriste, surveillance du territoire)
Militaires de l’armée de terre et de l’air, chargés d’installer et de mettre en oeuvre un système de transmission (RITA) reliant les maillons essentiels du dispositif de sécurité. Ils devaient assurer la surveillance du site olympique, intervenir, le cas échéant, pour dégager rapidement une zone difficile d’accès, et assurer la sûreté aérienne.